L'absence de Paulinka semble durer. Laissé à lui-même, totalement hors de contrôle, Strippy s'abandonne à l'expression de son moi suprême...
L'animal gît, immobile, comme en suspens, dans une flaque d'acrylique vermillon ...
Soudain, comme mu par une force dionysiaque, un grand cri jaillit de son gosier: Il patauge dans la couleur primale, extatique, il hurle des poèmes d'Henri Michaux.
une transe artistique s'empare de tout son être...
Tu m'fais rire Paulinka, oui, vraiment !!
RépondreSupprimerToi et ton Strippy, vous êtes trop trop chouetts ! BISOUS
A tous les 2
Waaaah! Strippy est déchaîné! Mais j'en connais un qui va devoir tout rangé...
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